Quelle configuration minimale / recommandée pour jouer à Sometimes to Deal With the Difficulty of Being Alive I Need to Believe There Is a Possibility That Life Is Not Real ?

Pour ceux qui s'aventurent dans l'univers intrigant de "Sometimes to Deal With the Difficulty of Being Alive I Need to Believe There Is a Possibility That Life Is Not Real", avoir la config adéquate est primordial pour une expérience immersive. Du réalisme cru et surréel du jeu qui fait flouter les lignes entre fiction et réalité, chaque détail compte. On parle donc de trouver le juste milieu entre performance et qualité visuelle, que ce soit en 720p pour ceux qui sont OK avec du standard, en 1080p Full HD pour une nette amélioration de la clarté, ou même en 4K pour une expérience ultra-détaillée. Mais les graphismes ne sont pas tout. Le taux de rafraîchissement et les images par seconde jouent aussi un rôle clé dans la fluidité de ton aventure numérique. Alors envisage si tu veux juste que ça reste fluide avec 30 images par seconde, ou si tu préfères une action super soyeuse à 60 ou même 120 images par seconde. Dans l'article, on va plonger dans les entrailles de la config nécessaire pour que tu puisses t'immerger totalement dans cette question métaphysique qu'est "Sometimes to Deal With the Difficulty of Being Alive I Need to Believe There Is a Possibility That Life Is Not Real", sans que ton ordi te lâche en cours de route. Prépare-toi à comprendre les exigences de ce monde virtuel au sein de ta machine bien réelle.

Affiche du film Sometimes to Deal With the Difficulty of Being Alive I Need to Believe There Is a Possibility That Life Is Not Real poster

Description : Ce logiciel s'adapte à ce que vous désirez qu'il soit. Il peut se transformer en une modeste base de données de jeux, une exposition d'art téléchargeable, une simulation, une peinture animée, un album, une crise existentielle, un talisman, une pièce de théâtre, une méditation, un sortilège, une forêt, un cauchemar dystopique, une plaisanterie. L'interaction et l'exploration sont plutôt limitées. En parcourant et jouant à tout ce qu'il propose, on pourrait en tout prendre une heure environ. - Il y a de petits jeux et des simulateurs de marche à découvrir sur des machines dans des bâtiments abandonnés. - Vous avez la possibilité de discuter avec d'autres joueurs en mode multijoueur et de tenter de deviner s'ils sont humains ou automatisés. - Un groupe de musique est présent ainsi qu'un repaire secret. - Il n'existe ni commencement ni fin. - Il n'y a pas de notion de gagner ou de perdre. Le jeu est aussi caractérisé par un cycle infini et dramatique d'accumulation et de destruction : Appuyez sur la touche 3. Vous pouvez choisir de voir le jeu du point de vue de 3 acteurs non jouables ou avoir une vue d'ensemble de la scène. Ils jouent une pièce de théâtre absurde. Ils sont les derniers survivants d'une apocalypse humaine et tentent de se reproduire pour recommencer la civilisation, mais rencontrent des difficultés. Ils envoient des courriels sans destinataires, colportent des ragots, méditent, font des siestes, nettoient. Ils rassemblent des artefacts autour de la scène et construisent une machine. Une fois terminée, cette machine génère une intelligence artificielle puis explose. Pour observer les actions des PNJ, vous pouvez laisser la simulation active lors d'une fête, dans une pièce pendant que vous faites autre chose, etc. Elle peut se dérouler pendant de nombreuses heures et vous aurez l'occasion de voir, lire et entendre différentes choses. Si vous disposez de plusieurs ordinateurs, vous pouvez les connecter pour observer diverses perspectives en même temps. Avec de multiples canaux de sons d'ambiance, le jeu devient une sorte d'instrument ou d'album génératif.

Genre(s) : Simulateur, Indépendant

Date de sortie : 25/05/2019

Développeur(s) : Jeremy Couillard

Editeur(s) : Jeremy Couillard